Le consentement

Le consentement est un choix volontaire qui doit être réciproque et mutuel entre deux personnes.
Le consentement c'est dire “oui” ou “non” sans se sentir forcé ou influencé.
Le consentement c'est dire “oui” ou “non” sans se sentir forcé ou influencé.
- Consentir, c'est pouvoir comprendre et être libre dans sa décision.
- Le silence ne veut pas dire accepter.
- Le consentement n'est pas définitif et peut être modifié ou retiré à tout moment.
Le non-respect du consentement est puni par la loi.
Le respect de son corps
Certaines femmes peuvent ressentir une forme de violence pendant un acte médical, même si le professionnel n'avait aucune intention de nuire.
Ce ressenti peut apparaître lors d'un acte médical, d'un examen gynécologique, d'un accouchement, ou simplement d'une parole mal perçue.
Il ne s'agit pas toujours d'une agression volontaire, mais cela reste une expérience vécue comme violente par la patiente.
Reconnaître ce ressenti est important.
Il peut être lié :
au manque d'explications ou de préparation avant le geste,
à une perte de contrôle sur son corps,
à une position de vulnérabilité émotionnelle ou physique.
La distinction est essentielle entre :
une violence ressentie (non intentionnelle, mais réelle dans le vécu de la patiente),
et une violence subie intentionnelle, qui relève d'une agression et nécessite une prise en charge juridique et psychologique.
Dans tous les cas, la parole de la femme doit être accueillie et entendue, sans jugement.
Parler à un professionnel de santé de confiance (sage-femme, médecin, psychologue, kinésithérapeute…) peut aider à restaurer un sentiment de sécurité corporelle et de confiance.
